Voit-on le monde changer ?
Une révolution est en marche, la dernière fut l'industrialisation il y a de ça 300 ans, aujourd'hui c'est ce qu'appelle J.M. Billaut la "nanoéconomie" à savoir, la nanotechnologie, la biotechnologie et la robotique, et tout comme la netéconomie il y a 10 ans, cette économie émergante à son lot de détracteurs, mais le plus inquiétant reste l'ignorance. A ce titre la France est sûrement un des des meilleurs exemples, nous sommes 4ème au rang des pays indutrialisés, mais pourquoi le PIB ne croît-il pas au delà de 1,5 %, et quand on sait qu'il faudrait une croissance de 3 % pour maintenir le système de retraite, ce n'est pas gagné.
Reste que nous avons des cerveaux qui possèdent un potentiel énorme, mais il reste inexploité (voir l'interview de Paul Caron chercheur au laboratoire informatique de Paris dans le dernier numéro du Monde de l'intelligence, extrait: "Nous avons pourtant en France des chercheurs brillants et créatifs, mais on les utilise pour exécuter des tâches administratives sans leur donner beaucoup de moyens. Noter valeur est reconnue à l'étranger mais les moyens dont nous disposons font sourire nos confrères...").
C'est ce qu'appelle un journaliste anglais "la frantitude" : peur du futur avec le Prozac et la StarAc en guise de neuroleptiques !
Le problème est ancré dans notre culture, et les différents problèmes qui ont eu lieu dans nos banlieues dernièrement, sont des annonciateurs d'une France en crise. Mais au delà des faits divers, il semble que les français se sont habitués au système, majoritairement piloté par l'Etat, d'où la problématique du manque d'initiative et de prise de risque.
Pour terminer un constat flagrant que citait J.M. Billlaut il y a deux semaines:
"Les Japonais, eux, ne se posent pas la question : en 2010, 50 % des foyers seront connectés à 1 Go par seconde... Mais bon on fait du bon pinard..."
Reste que nous avons des cerveaux qui possèdent un potentiel énorme, mais il reste inexploité (voir l'interview de Paul Caron chercheur au laboratoire informatique de Paris dans le dernier numéro du Monde de l'intelligence, extrait: "Nous avons pourtant en France des chercheurs brillants et créatifs, mais on les utilise pour exécuter des tâches administratives sans leur donner beaucoup de moyens. Noter valeur est reconnue à l'étranger mais les moyens dont nous disposons font sourire nos confrères...").
C'est ce qu'appelle un journaliste anglais "la frantitude" : peur du futur avec le Prozac et la StarAc en guise de neuroleptiques !
Le problème est ancré dans notre culture, et les différents problèmes qui ont eu lieu dans nos banlieues dernièrement, sont des annonciateurs d'une France en crise. Mais au delà des faits divers, il semble que les français se sont habitués au système, majoritairement piloté par l'Etat, d'où la problématique du manque d'initiative et de prise de risque.
Pour terminer un constat flagrant que citait J.M. Billlaut il y a deux semaines:
"Les Japonais, eux, ne se posent pas la question : en 2010, 50 % des foyers seront connectés à 1 Go par seconde... Mais bon on fait du bon pinard..."
1 Comments:
Je suis belge,et sincérement c'est encire pire içi,je suis totalement d'accord avec vos positions.
Seriez vous d'accord que votre article figure sur un site non lucratif dédié au modélisme et a la robotique domestique?
Enregistrer un commentaire
<< Home